Les conseils régionaux qui sont à la présidence des Comités de gestion des établissements scolaires (Coges) ont-ils été impliqués dans la prise en charge des frais Coges ?
Jusque-là, nous n’avons pas encore été contactés. Les conseils régionaux que nous sommes, dirigeons les Coges au niveau du secondaire. Mais notre rôle n’a pas encore été décliné.
Le ministère de l’Education nationale a demandé aux Coges de faire leurs bilans. Une mission de contrôle va sillonner les établissements dans ce cadre. À quel moment allez-vous entrer en scène ?
Nous ne le savons pas encore. Depuis l’annonce de l’implication des conseils régionaux et mairies dans la prise en charge des frais Coges, nous attendons de connaître les détails.
Que proposez-vous dans ce cas ?
Nous proposons qu’il y ait une rencontre pour nous donner plus d’informations sur le rôle que nous allons jouer. Il faut faire non seulement le bilan des Coges, mais également parler des perspectives.
Vous sentez-vous personnellement concernés par la question des Coges ?
Dans la Bagoué, nous avons une idée beaucoup plus reluisante des Coges, parce qu’ici, la gestion est transparente.
Raphaël Tanoh