Meurtres et viols d’enfants, des questions restent posées

par NORDSUD
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Dans le cadre de la journée internationale des droits enfants commémorée ce 20 novembre, des questions restent posées sur les cas de meurtres, d’enlèvements et des viols des enfants. Cette rétrospective inquiète dans la mesure où les enfants de Côte d’Ivoire continuent de réclamer plus de droits. Surtout le droit à la vie.

24 février 2018, un corps sans vie et vidé de son sang est retrouvé à quelques encablures du CHU d’Angré à Abidjan. C’est celui de Traoré Aboubakar Sidiki dit ‘’Bouba’’, 4 ans. Il aurait été l’objet d’un crime rituel. L’affaire avait fait grand bruit.

Un an après, précisément le 30 septembre 2019, rebelote, une fillette âgée d’un an de moins que Booba ne s’en est pas mieux sortie. Bouassa Ahou a été retrouvée inerte après avoir subi un viol à Dimbokro.

Des cas désolants mais qui sont bien loin d’être des cas isolés. Malheureusement ce ne sont que les cas les plus connus, peut-être pas les plus crapuleux. Après les indignations sur les réseaux sociaux, les hashtags et les sit-in à leurs effigies respectives, certaines questions demeurent sans réponses.

Qui sont les responsables de ces crimes odieux ? Les présumés auteurs et les complices ont-ils été mis aux arrêts ? Où en sont les enquêtes annoncées depuis les faits ?

Charles Assagba

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