C’est un répugnant crime. La dépouille mortelle d’une femme âgée de 112 ans, victime de viol, a été découverte, le 8 mai, en tenue d’ève, dans une marre de sang à Niakara, au nord de la Côte d’Ivoire. Echaudé, le ministère de la Famille, de la Femme et de l’Enfant a pris attache avec le fils de la défunte vieille dame, tout en alertant «les autorités compétentes pour suivre le dossier», précise une note des services de communication dudit département ministériel, en date de ce 11 mai. Mobilisées en vue de remonter de découvrir l’identité du présumé coupable de cet acte odieux, les forces regaliennes ont mis la main sur un patissier. Interrogé sur le forfait, le trentenaire «a reconnu les faits et affirme avoir agi sous l’effet de stupéfiants». Dans la circulaire publiée sur sa page Facebook, ledit ministère a salué la «promptitude de la gendarmerie nationale pour la prise en compte et la diligence avec laquelle le dossier a été traité». Le département ministériel a en outre réitéré son cheval de bataille : tolérance zéro pour les monstruosités de ce genre.
Charles Assagba